Le directeur de l’Institut Français accepte le projet
et me fait une lettre de recommandation pour contacter l’Ambassade de France.
L’Ambassade me met en rapport avec le ministère des Affaires Etrangères
qui me met en liaison avec l’AFAA
(l’Association Française d’Action Artistique),
pour budgétiser le projet.
L’AFAA me demande de prendre contact avec le CNAP
(Centre National des Arts Plastiques)
pour acceptation du projet et complément de budget.

Je suis reçu au CNAP après plusieurs tentatives pour rencontrer un responsable.
Trois rendez-vous plus tard et après m’avoir demandé 3 dossiers,
on me réclame une vidéo.
Puis brusquement on me renvoie sur la DRAC Aquitaine.

Sachant très bien que la DRAC refusera le projet,
je demande àMr de Peretti, maire de Sarlat et ministre de l’Outre-Mer àl’époque,
de faire un courrier àMr Douste-Blazy pour que mon dossier reste àParis.
Je suis là, convoqué au ministère de la Culture, rue de Valois où l’on me déclare
que je dois créer une troupe autour de mon projet : plasticiens, danseurs, chanteurs...
qui devra demander les financements, sans aucune garantie de les obtenir...
J’abandonne le projet, nous sommes en 1997.
Deux ans sont ainsi passés et bien sà»r les frais restent àma charge.