Il y a une trentaine d’année,
les manuels scolaires de notre histoire de France
parlaient de nos ancêtres les Gaulois.
Et si dans la classe,
il y avait un petit noir ou un petit jaune,
on ne se demandait pas pourquoi.
La “paranoïa critique” n’était pas mode à cette époque.
Et nous nous contentions de sourires en coin.
Car il faut bien l’admettre,
les habitants de ce pays
sont peut-être les héritiers les plus bâtards,
un des plus grand mélange de races.
Aujourd’hui on dit métissage,
et certains intellectuels s’y référant,
parlent alors de “ France créative “,
à croire qu’il n’y à qu’en France que la création existe.
Par qui n’avons-nous pas été envahis, colonisés ?
Aujourd’hui on l’admet :
les Gaulois ne sont plus tout à fait les pépés de tous les Français.
On pourrait donc supposer qu’un certain crétinisme a disparu ?
Mais non, sur notre planète,
dans un grain de riz appelé Périgord,
certains dirigeants de cette petite contrée font mieux,
au grand rengorgement de l’indigène.