Je peins le souvenir et le parfum de la première terre labourée.
Je peins la passion de mon premier travail
dont l’effort est né directement du sol.
Je peins malgré moi,
un regard qui dépend du temps et qui tient de l’esprit.
Alors je peins aussi d’une odeur ou d’une fourmi...
Du soleil blanc qui tombe chaud quand il faut,
ou de la brume qui dans l’hiver,
s’élance tôt autour de la solitude...